30/12/2013

10.13. Dit-moi une histoire… immortelle

Est-ce que tu te rappele les années heureux de l’enfance quand tu allais le soir au lit et ta mère, ou ton père te racontaient une histoire ? Certainement. Même maintenant, tu peux te voir alongé dans ton lit, les yeux et les oreilles ouvertes, pour pouvoir surprendre chaque moment de l’action, pour que rien ne t’échappe pas. En attendant avec impatience le dénouement, même si tu le connaissais déjà. Parce que c’était pour la 230ème fois que tu l’écoutais. En regardant vers les pages du livre, même si tu pouvais pas lire, t’étais aussi curieux et pris dans le film que tu voyais rouler dans ta tête, comme si c’était pour la première fois. C’était vraiment magique. Le plus souvent tu te réveillais le matin sans te rappeler la fin de l’aventure. Qu’est-ce qui c’était passé ? Il y a eu une fin heureuse ? Ton héros favori avait-il gagné la bataille avec le méchant dragon ? Tu attendais que le soir arrive de nouveau pour conaître la réponse… Et cette fois-ci, tu fesais un serment avec toi-même comme quoi le sommeil va plus te prendre dans ses bras !
Aujourd’hui tu fais, probablement, la même chose que tes parents. C’est-à-dire, lire à tes enfants des histoires de « Bonne nuit ! ». Peut-être les mêmes que tu avais entendu il y a quelques années auparavant… Et ainsi, tes enfants vont le faire quand leur temps viendra. Elles vont passer d’une génération à l’autre, vainquant le temps et les époques, sans réaliser qu’elles, les histoires, sont immortelles.
En échange, si tu pense à toi, en tant que personne, qu’est-ce que tu te dit ? Tu vis ta vie le mieux que tu le peux, en essayant de t’offrir, à toi et à ceux que tu aime, le plus et de plus que possible. Argent, maisons, voitures, bijoux, possessions, position sociale, pouvoir et même la lune et les étoiles… T’es pris au millieu de cette lutte que parfois séche toute l’énergie de ton corps. Mais, tu te dis que la récompense que tu va recevoir à la fin vaut le sacrifice. Il y a quand même une question. C’est où cette fin ? Ben… c’est difficile à dire. Et même si tu réussisse à l’identifier précisément, après celle-là il y une autre et après une autre… jusqu’à ce que tu reçois ce que tu souhaite. Tu pourais dire que ta vie est une lutte permanente, sans fin. Tu vis comme si tu étais… immortel. Personne et rien peut pas te battre. Tu fais ça, n’empêche que quelque part, une fois (à l’école ?), t’as appris que la vie de n’importe quelle créature de la Terre est limitée dans le temps. Tu pense pourtant que, le plus tu va accumuler, le plus seront ceux qui se mettent en genoux devant ta majesté, tant tu va réussir à t’approcher de l’immortalité.
Il y a aussi des gens qui disent qu’ils vivent chaque jour comme si c’était le dernier. Dans leur cas, tu peux observer quelque chose intéressant. Leur attention se déplace à l’exterieur, de leur propre personne vers les autres. Leur objectif principal ce n’est plus un mentioné ci-dessus, même si ils peuvent apparaître, parfois, dans l’équation. Soit qu’il s’agit d’une affaire, soit d’une action philanthropique, ou du temps passé avec la famille, ils visent, par tout ce qu’ils font, d’être utiles aux autres, de les aider, les faire plus heureux. Ils n’oublient que, une fois qu’ils ont signé leur présence dans ce monde à 09.00 heures, ils ont du temps seulement jusqu’à 17.00 heures de laisser leur marque. Peut-être que, pour cette raison, ces gens sont très efficaces dans les actions qu’ils déployent. Peut-être que, pour cette raison, ces gens deviennent immortels, même s’ils ne le visent pas. Ils continuent à vivre pour toujours parmi nous, les autres. Ceux à qui ils ont appris les vraies valeurs de la vie, ceux qui ont profité de leur amour, confiance et appréciation, nous, ceux qu’ils ont encouragé et soutenu alors que nous avons eu tort.
Maintenant fais une comparaison entre les deux situations mentionées ci-dessus. Dans la première tu va retrouver le dragon avec sept têtes qui essaye de conquerir le monde. Dans la deuxième tu vois Prince Charmant, l’héros qui apporte le bien et la justice, celui qui coupe les têtes du dragon un par un.
            Et toi, lequel d’entre les deux tu veux être ? T’es libre à choisir celui que tu considère adéquate pour toi. Tu peux, si tu le souhaite, de transformer ta vie dans une histoire… immortelle.

M.P. Sau

23/12/2013

09.13. Redécouvre un monde perdu !

Est-ce que tu aime les défis ? Veux-tu découvrir un nouveau monde, ancien depuis des temps ancestrales ? Si ta réponse est affirmative, je t’invite, pour les 4 minutes et 35 secondes suivantes, à lire les lignes ci-dessous.
Si quelqu’un te demanderait à décrire un jour de ta vie, probablement que ce serait un peu comme suit. Le lourd réveil à 06.30 du matin, la douche refraîchissante, un petit déjeuner très petit ou juste un café et une cigarette réconfortante, un voyage difficil, plein de périls et beacoup trop long jusqu’au bureau, entre 8 et 12 heures dédiées à un boulot inférieur à tes capacités qui te gonfle avec du stress et déceptions, nerfs et éventuellement… d’argent. Tu reprends le voyage depuis le matin, cette fois-ci dans l’autre sense, en espérant que maintenant tu va te débrouiller mieux. Ça n’arrive pas, mais tu es à la maison et ça n’as plus d’importance. Tu échange quelques mots avec ton épouse pour qu’elle ne se sente pas ignorée. Tu observe qu’elle aussi est autant fatiguée que toi. Tu jette sur une assiette une large grillade que tu accompagne avec une bière froide. Tu te laisse imprégné par le goût sublime devant la TV en suivant les nouvelles bien « rédigés » et les ragots suculents qui viennent de tous les domaines. Tu lance un « burp » appréciatif en touchant ton ventre arrondi et tu te prépare pour aller au lit. Demain c’est une nouvelle journée…
Qu’est-ce qu’il y a de mal dans tout ça ? tu te dit au début. Je suis jeune, je vais avoir du temps pour moi plus tard. Après une courte période, disons… 15 ans, tu te pose même plus de questions. Tu es si habitué avec ton train de vie, que ça te semblait absolument étrange d’essayer à changer quelque chose. De plus, si quelqu’un d’autre (tes amis, ta femme ou les enfants) essaye à t’expliquer comment les choses vont, ça fait ton sang de monter à la tête. Même si tu travaille d’arrache-pied pour mettre de l’argent sur la table et qu’ils ne manquent rien, eux, ils veulent d’être traités avec plus d’attention que c’est le cas. Ça, c’est la limite ! Est-ce qu’il n’y a personne qui pense à toi ?
Tiens ! Qui pense à toi ?
Le premier qui devrait le faire c’est toi-même ! Détache-toi des choses qui t’entourrent, du mouvement et du bruit qui sont si bien intégrés dans le rythme de ta vie. Enlève ton attention du monde extérieur vers un autre. Un que tu porte avec toi en permanence, mais que tu n’as pas remarqué depuis quelque temps. Essaye, une de ces soirées, d’arrêter la télé. Au lieu de te mettre au lit, reste là où tu es. Peut-être que c’est ta place préférée de toute la maison, où tu es confortable. Trouve une position relaxante et si tes yeux veulent se fermer, laisse-les faire. Soit attentif à ce que tes sens te transmettent. A chaque son qui arrive dans ton cerveau. C’est possible qu’un de tes voisins s’est rappelé qu’il est temps de tester sa perceuse sur les mûrs de son appartement. Ou peut-être tu va entendre l’histoire que ton épouse lit au enfants qui essayent de s’endormir. Tu te rends compte comment ça te fait du bien d’être assis sur ton canapé, de sentir la chaleur transmise par son dossier. D’un coup, tu commence à percevoir les pulsations de ton cœur. Tu l’écoute comme ça pour quelques minutes. Merveilleux ! Après, tu remarque la façon dont tu respire. Au début plus vite, à la suite de plus en plus calme, plus tranquillement. Tu laisse tes poumons se remplir avec l’air de la chambre. Tu te félicite pour avoir eu l’inspiration d’allumer quelques petits bâtons aromatisés. Leur parfum envahisse chaque  cellule de ton corps. Extraordinaire ! Sont des sons et sensations qui te font sentir que tu es, quand même, plein de vie. Et comme ça, avec les yeux fermés, tu regarde éblouï ce nouveau monde qui se cache à l’intérieur. Tu es décontracté, calme et heureux avec toi-même. Tu te recharge avec une énergie que tu croyais perdue. Tu peux maintenant prendre nouvelles routes, découvrir d’autres senses pour des choses qui, jusqu’à aujourd’hui, étaient d’une banalité sonore. Et tu te rends compte que tu es déjà passé par cette étape. Tu étais juste un enfant qui voulait expérimenter, sentir, voir et entendre tout ce qui venait de ce monde. Tu avais envie d’utiliser tout ça pour pouvoir changer le monde extérieur. Et la plus part du temps tu réussisais. Que ça fait du bien de revivre de nouveau ces moments-là !
Maintenant, quand tu regarde autour de toi, ça semble que ce monde extérieur n’est plus si morne. Tu réalise que, en te mettant en contact avec ton monde intérieur, tu peux prendre avec toi la beauté, le calme, la joie, l’amour que tu as trouvé là-bas, les emmener ici, dans la réalité répugnante et de les offrir aussi aux autres.
Tu te demande comment est-ce que tu as oublié de toi ? Ça a été très facile. Nous vivons dans une société qui employe pleinement les moyens d’annihilation de l’identité de l’individu. La télé, les plus efficace de tous, nous présente en permanence les modèles que nous devons suivre. La soif d’enrichissement par tous les moyens, la violence verbale et physique, le mensonge, l’indifférence envers les gens auprès de nous sont les piliers qui soutient ces modèles.
             Mais… C’est aussi facilement de redevenir l’homme droit, courageux, fort, et curieux que tu étais une fois. Regarde le monde cachée en toi. Il attends avec impacience d’être redécouvert, d’être écouté, de t’offrir ce que tu souhaite. Tout ce tu as à faire c’est de fermer tes yeux pour pouvoir le voir…

M.P. Sau

16/12/2013

08.13. Messages pour ton (in)quiétude…

Ces jours-ci on est tous soumis, de toutes les côtés, à un assaut d’informations, messages et invitations à actioner venues de partout et nulle part. Avec l’évolution technologique toutes ces choses-là ne font qu’inonder notre vie, en nous laissant encore peu du temps pour nous-mêmes, ou pour ceux que nous considerons importants, que nous aimons et qu’on veut avoir auprès de nous.
Qu’est-ce que tu fais dans ces conditions ? Si tu est comme la plupart des gens, tu va essayer de résister, de répondre à cet attaque. Comment ? D’habitude par deux méthodes :
1.    Tu efface ce qui n’est pas important pour toi.
2.    Tu essaye de répondre dans l’ordre de l’urgence et de l’importance.
Pour décider laquelle tu va utiliser, tu va appliquer un filtre rapide, en fonction de certaines critères choisis sur place. Bien sûr, la tentation de jeter dans la première catégorie la majorité des massages est très élevé. Pourtant, ils restent suffisament aussi pour la deuxième et pour pouvoir répondre tu est forcé de consommer une partie importante de l’énergie et de ton temps. Et parce que cette action n’est pas la seule que tu doit mener à la fin aujourd’hui, tu finis par être stressé, précipité, distrait et grincheux. T’est agressif en trafic, tu gronde tes enfants pour n’importe quoi, ou tu te brouille avec ta copine parce qu’elle est en retard au rendez-vous de trois minutes. Tout le monde est à blâmer parce que tu n’arrive pas à mettre ta vie en ordre. Et tout ce que tu désire c’est de te retirer quelque part où personne peut te trouver, où il n’y a pas des instruments comme l’ordinateur ou le téléphone, qui te jettent dans la figure la réalité atroce, où tu peux vraiment te détendre, où tu peux redevenir toi-même. Mais, est-ce que ça peut être une solution ? Je pense pas.
Peut être ce serait mieux d’essayer une nouvelle approche. Qu’est-ce qui peut se passer si tu regarde plus attentivement parmi les massages que tu efface ? Ça peut arriver que l’un d’eux soit la solution. Parce qu’il y a une source que tu ignore depuis quelque temps. Qui est en permanence à ta disposition et prête à t’offrir la quiétude dont tu as besoin. Sans maintenir le suspense, je vais te dire quelle est cette source : TOI-MÊME. Ou, mieux dit, la partie de toi qui, dans la plupart du temps, est oubliée, marginalisée et souvent même ironisée. Elle est connue sous plusieurs titres : l’esprit inconscient, sousconsciemment, ou bien, alter ego.
Qu’est-ce que tu raconte là ? tu va dire. Il y quelque temps, moi aussi je me demandais la même chose. Et j’ai continué à lutter avec le stress et la manque du temps. J’ai continué à trouver des excuses  qui me tenaient la tête au-dessus de l’eau, qui me permetaient de faire ce qu’il faut pour ne pas perdre mon job et pour respecter les standards que d’autres fixaient pour moi.
Il faut pas mécomprendre ce que j’ai dit. Il faut pas que demain tu entre dans le bureau de ton chef et lui présenter ta démission parce que tu n’est pas d’accord avec les tâches de ton poste. En aucun cas ! Ou, au moins attends un peu avant de faire ça. Ce que je souhaite, c’est de t’informer que ton sousconsciemment existe. Même si tu ne le crois pas, ça veut pas dire qu’il va disparaître. Alors, s’il est là, quelque part, pourquoi pas essayer de le contacter ? C’est très simple. Le premier pas c’est d’ouvrir ton esprit. Tu le fait, d’habitude. Chaque jour. Tu accepte des défis sans savoir si tu va être capable de les accomplir, ou obtenir le résultat attendu. Par exemple, le chef viens te voir et te demande de lui envoyer dans deux heures le rapport des ventes du dernier mois. Celui de ta compagnie, celui de la compétition, sur chaque zone géographique et pour chaque catégorie de produits. De plus, ce serait magnifique si tu peux faire aussi une prévision sur les résutats de ce mois-ci.
            Enfer ! Comment est-ce que je vais faire ça ? tu te demande après ce que le chef a quité le bureau. La question reste suspendue dans l’air sans réponse. Tu n’as pas le choix ! Il faut que tu te mette au travail. Après trois heures, pendant lesqueles tu n’as pas levé ton cul de ta chaise et les yeux de l’ecran du PC, tu serre les dents, crache quelques mots « aimables » à l’adresse de ton chef, mais tu lui envoie le rapport demandé. Est-ce que t’as remarqué  ce qui se passe après ? Si tu oublie le petit retard d’une heure, tu est pris par un sentiment de fierté, confidence en toi-même et en quelque sorte, tu sens que tu peux amener la lune du ciel si quelqu’un te la demande. Tu est détendu et calme comme si tu viens de finir une séance de massage thaïlandais. C’est d’où que ces sensations-là viennes ? Qui est le responsable ? Tien ! Une suggestion : ton esprit sousconscient. Tu viens de réussir, pour une courte période de temps, à réaliser un lien avec lui. Si tu te demande comment tu peux faire de sorte que cette liaison soit une à longue durée, je peux t’aider. Donne-moi un signe (ou bien un message ci-dessous avec ton adresse e-mail) et accepte le défi de causer avec moi. Tu n’as rien à perdre (maintenant c’est gratuit), mais tu va certainement gagner ! Tout ce que tu doit faire, c’est d’écouter avec attention les messages de ton sousconsciemment.

M.P. Sau

09/12/2013

07.13. To coach or not to coach ? C’est ça la question.

Coaching… Une notion nouvelle pour moi. J’ai entendu de lui il y a quelques ans, mais j’ai comencé a le découvrir il y queques mois. Et ce que je peux dire, c’est que je souhaite aider autant plus de gens à entrer en contact avec lui.
Pourquoi ? Parce que le coaching c’est la méthode par laquelle chacun d’entre nous peut continuer son évolution, tant personnelle que professionelle. Par l’intermédiaire du coaching on peut arriver là où l’on voulais depuis longtemps, mais on ne le savais pas comment et par où. Le coaching nous aide à (re)découvrir qui nous sommes vraiment et qu’est-ce que nous sommes capables de faire. De nous regarder nous-mêmes et les autres avec d’autres yeux, dans des images plus lumineuses et plus spectaculaires qu’avant.
Comment une telle transformation se passe ? Ben, par l’intervention de plusieurs éléments principaux. S’il y a un qui manque, alors le résultat ne sera plus le même. Se serait comme si on essayerait de construire une maison en briques sans utiliser du mortier. Tu as des chances réelles d’obtenir à la fin la maison souhaitée, mais une toute petite brise d’air va la démolir sans trop de difficulté.
Donc, le premier et le plus important élément c’est toi, l’homme qui veut évoluer, changer sa vie en bien, passer au niveau supérieur. Ou, qui veut trouver des alternatives de façon qu’il soit utile pour ses compagnons, les encourager, les motiver, les soutenir. Avec d’autres mots, devenir un meilleur leader. Sans toi et ton désir sincère de changer, le coaching n’aurais pas d’objet. La matière première pour le coaching est constituée par les gens. Et, parce que je ne suis pas sûr que je me suis fais bien compris, je répéte : le coaching c’est avec et sur les gens. Il y a beaucoup ceux qui appliquent cette étiquette – « Je suis un être humain. » - uniquement pour le fait que, de point de vue physique, ils se ressemblent aux hommes, ils marchent en deux pieds, utilisent leurs mains pour saisir certains objets et pour se nourrir, mais qui ne se rendent pas compte que ce qui les maintient à la verticale c’est le vide à l’intérieur de leur crâne.
Un deuxième élément c’est toujours un homme. Plus précisément dit, un coach. Le coach est pour son client ce que le gazole est pour le moteur diésel, l’abeille pour la fleur, ou la gâchette pour le pistolet. En d’autres mots, le gazole va faire en sort que le moteur diésel fonctionne, mais ça veut pas dire que qu’il va assurer le déplacement du véhicule sur lequel le moteur est instalé. L’abeille fera la pollinisation, mais ça va pas assurer la perpétuation de cette espèce-là. La gâchette va faire la balle partir du pistolet, mais toucher la cible c’est un tout autre sujet. Le coach ne va pas dire à son client que faire dans une certaine situation, ni quelle est la meilleure solution pour ses problèmes. Par contre, ce qu’il va faire, c’est de déterminer son client à explorer, d’approcher le sujet de perspectives différentes, réaliser de nouvelles connexions entre des aspects ordinaires ou particulières, découvrir des chemins qu’il était conscient inconsciemment. (« J’avais un sentiment comme que ça doit être come ça ! »), de penser d’une façon créative, en le sortant des modèles habituels quand il le faut.
Bien, d’accord, tu vas dire. Mais j’ai pas besoin d’un coach pour évoluer, pour changer. Je peux le faire moi-même. Et tu peut avoir raison. Je vais quand même t’adresser une question, à laquelle c’est toujours toi qui doit répondre. C’est une question qui fait la liaison entre deux termes : coach et/ou entraîneur.
Pense à un sportif avec une expérience compétitionelle de dix ans, qui maîtrise parfaitement les techniques de sa discipline, qui connaît tous les secrets et les astuces qu’il peut utiliser, qui a gagné pendant son carière tout ce qu’il pouvait gagner, qui continue à exercer chaque jour pour qu’il se maintien au plus haut niveau possible. Comment se fait-il qu’un sportif comme celui-ci fait toujours appel au services d’un entraîneur ?
Au début, moi aussi  j’étais méfiant. Ce que j’ai fait c’était de tester les deux méthodes. J’ai choisi un sujet pour lequel j’ai essayé a trouver une solution. Une fois par mes propres forces, après, à l’aide d’un coach. Les différences sont énormes.
            Pour que tu soit convaincu, il faut que tu fasse un essai. Il n’y a pas d’autre solution entre les deux. Si tu est prêt, moi, je peux être ton coach. Laisse-moi un message avec ton contact ci-dessous. Tu n’as rien à perdre. C’est gratuit… pour le moment.

M.P.Sau

02/12/2013

06.13. Changer ou adapter ?

Ça vous ai jamais arrivé de penser au changement ? Le votre ou celui des gens autour de vous ? A moi oui. Et pas seulement une fois. Ce que j’ai observé c’est qu’alors que le changement visait ma personne, je devenais soudain très compréhensif, permissive. Même si j’avais un but claire, à réaliser avant une certaine date, à partir du premièr pas, suivi par les pas 2, 3, jusqu’au dernier, je me retrouvais au bout du délais notant, avec surprise, que le changement ne s’était pas passé. Bien sûr, une série de questions sous forme de « Pourquoi ? » arrivaient devant moi et j’essayais de trouver les bonnes réponses. Après un certain temps je les trouvais. Elles étaient bien argumentées, formulées et logiques et me donnaient la chance d’être à l’aise avec moi-même, celui que j’étais avant. Cette fois-ci néanmoins, je pouvais me regarder dans une nouvelle lumière, celle de l’homme qui lutte pour son propre changement et évolution et qui, contrairement au fait qu’il ne réussit pas, il est content et satisfait avec soi.
Quand il s’agit du changement des autres, l’approche est différente. On souhaite qu’ils fassent ça, c’est-à-dire changer, en tenant compte de ce que nous voulons qu’ils changent, de telle façon que ça correspond  à nos désirs et intérêts. Nous leurs parlons, on leurs explique quoi, comment et jusqu’à quand ils doivent le faire. On suis avec attention chaque pas qu’ils font pour les maintenir sur la bonne voie et éviter un dérapage. Quand on arrive à terme et nous ne recevons pas le changement qu’ils nous ont promis, alors tient-toi bien ! On piétine toute explication, motif ou cause qui nous sont offerts. « Les excuses sont pour les perdants ! », « Tu m’a déçu ! », « Tu peut rien faire de bien ! », « Je m’attendais à ça de ta part ! ». Voilà quelques exemples de nos répliques, prêts à donner. Dures, impitoyables, parfois même blessantes.
En faisant une comparaison entre les deux situations, on peut aisément observer un phénomène anormalement normal. Evidemment, nous sommes douces avec nous-mêmes, mais intransigeants et inflexibles quand il s’agit d’autres.
Qu’est-ce-que vous en pensez, peut-on changer quelque chose de ce coté ?
Vu ce qui à été evoqué ci-dessus, je préfère ne pas donner une réponse. J’aimerais essayer une autre approche du changement. Après tout, peut être que même le mot « changement » doit être changé. C’est-à-dire, quand je dit changement, je pense de remplacer A avec B et obtenir un profit lors de cette opération. Pendant ce processus il y a au moins deux éléments qui intervient et qui déclanchent une force à peu près égale, mais contraire au changement.
Premièrement, il s’agit du fait que ce qu’on veut changer c’est très familier pour nous, c’est là depuis toujours, nous sommes si abitués à cette situation-là qu’elle est une partie de notre vie.
Deuxièmement, je pense à ce que je sens. Donc, maintenant je suis détendu, content et heureux avec ce que j’ai ou ce que je fais. L’action que je doit entreprendre pour réaliser le changement apporte du stress, raidissement, irritation, même des nuits sans sommeil. Ne pas mentioner le fait que, après le changement, au lieu d’avancer, d’évoluer, c’est possible de créer plus de dommages, de travailler plus avec un rendement diminué.
Alors je me demande si ça vaut vraiment la peine de changer ?
Peut être que si au lieu de (me) changer, j’éssayerais à (m’)adapter, ce serait mieux ?
Tout au long de l’évolution de la vie sur la Terre on a prouvé que ce n’est pas obligatoire d’être le plus gros, le plus puissant ou le plus rapide pour survivre. Toujours, quelque chose d’autre ou quelqu’un d’autre sera plus gros, plus puissant ou plus rapide que toi. En échange, si tu réussira d’être flexible, d’aisément t’adapter, les chances de survie augmentent dramatiquement, dans une manière difficile à décrire. Et nous, les humanoïdes, nous avons réussi à prouver ça mieux que…les dinosaures, par exemple. Nous avons fait usage de notre plus flexible et adaptable segment qui compose le corps : le cerveau. Avec son aide nous sommes toujours présents sur cette planète, nous avons développé notre force et vitesse par l’intermédiaire des outils que notre cerveau à conçu. Et je suis sûr que, toujours en utilisant ce cerveau, nous allons réussir à faire les adaptations requises pour avoir les relations souhaitées avec les autres, pour atteindre les objectifs que nous nous avons fixé, dans un seul mot, pour continuer à évoluer.
            Attention ! On vient de découvrir récement que le magnifique cerveau a un point faible. S’il n’est pas utilisé, il s’atrophie, il séche et transforme son propriétaire dans l’un ou l’autre des exemplaires présentés par l’Atlas de Biologie, le chapitre « Singes » (pour des détails veuillez consulter l’Atlas).

M.P. Sau