Regarde autour de toi ! N’importe où tes yeux
tombent, tu ne voit que la crise. Si tu t’arrête pour écouter les bruits qui
t’entourent, tu va facilement remarquer qu’il y a un qui sort en évidence dû à
la performance et la qualité du son. C’est le son de la crise qui marche en
fanfare sur les grandes rues de la ville. Tu sens quelque chose qui te presse de plus en plus fort et que, malgré
tes efforts de te redresser, ton dos continue à se courber ? T’en fais pas
de soucis ! La crise est en train d’essayer la réalisation d’une soudure
efficace sur ta carcasse.
Est-ce que t’as vu les dernières présentations de haute
couture ? Sûrement t’as observé un détail qui a retenu ton attention. Les
pantalons, les jupes, les chemises, les vestes, les t-shirts ont les poches
cousus, ou, juste dessinés. Ça pour que tu sois protégé contre la crise qui
peut te surprendre et t’enlever dans une minute tous ce que tu as réussi à
cacher dans un ou plusieurs accessoires de ce type de tes vêtements. Dû à sa
façon d’opérer, elle est connue sous le nom de « crise de poche ».
Evidement, il y a beaucoup d’epèces et sous-espèces de la
crise. Quelques-unes sont déjà très populaires, respectivement popularisées. Elles
travaillent pendant que tu dors tranquillement en espérant un meilleur
ledemain.
La crise qui prouve d’être un candidat sérieux au titre
suprême est, sans aucune trace de doute, celle économique. Quand on parle
d’elle, toutes les compagnies se retirent, se font petites, même très petites
et aillent se cacher où elles voient un coin libre. Vraiment toutes ? Ben,
pas toutes. Il y a des compagnies qui ont des meilleurs résultats qu’avant la
crise, qui s’étendent et qui font des plans à long terme. Il y a des compagnies
qui investissent dans le développement de nouveau produits, emplacements et
image de marque. Effrayée par ces apparitions, la crise les contourne, elle
n’as pas le courage de les attaquer. Elle se concentre sur celles qui sont
terrifiées, ayant leurs têtes couvertes d’une très fine couche de sable.
Il y a encore une, au moins aussi intéressante que les
autres. Comme un caméléon, elle peut se camoufler parfaitement pour après
attaquer quand tu ne t’attends pas. Les effets, par contre, sont dévastateurs,
la proie est complètement perdue. Elle n’as aucune possibilité de retrouver sa
route, elle bouge lentement, au hasard. Son regard est vide, fixé sur un seul
point, son langage est maintenant extrêmement rapide, inondé par des mots qui
se suivent négligents, sans avoir un sense précis, après, extrêmement lent, qui
contient des pauses très longues, interrompues ci et là par quelques
interjections difficilement à comprendre. C’est elle, la crise d’identité. Et
elle est vraiment dangereuse.
Imagine que tu peux voir la Terre de très, très loin. Tu
va être surpris par les perceptions offertes par cette image. Et la première
chose qui sautte à tes yeux ne sont pas les couleurs, les formes ou ses
mouvements. Ce qui te frappe c’est la sensation de crise générale qui semble
avoir saisit toute la planète. On dirait qu’elle tourne de plus en plus vite,
dans un essay titanique de se rompre de son maître absolu, le Soleil. Soit pas
surpris par le vertige qui viens t’accabler. A un certain moment tu va
découvrir que tu es alongé sur la terre !
Même si fantômatiques que ces déscriptions-là peuvent
apparaître, elles ont quelque chose en commun. Les gens. Des êtres contrôlés
par émotions, sentiments et sensations, parfois par la logique, ils induissent
à leurs compagnons des divers états, conditions. Dont, avec l’aide de la
téchnologie (internet, télévision, etc) ils les intensifient, les modifient,
les dirigent. Les pauvres gens n’ont pas le choix. Ils réagissent à tous ces stimuli
en essayant de reprendre le contrôle. Mais, l’effet est contraire à celui
attendu. Ils sont piégés dans cette spirale que les lâche plus. Elle les tire
de plus en plus dedans, les fait oublier que c’est dans leur pouvoir de revenir
à la vie.
Comment est-ce que les gens peuvent s’arracher à ce
tourbillon ?
Comment ferais-tu ?
Probablement
que la première impulsion serais de regarder autour de toi pour trouver les
meilleures solutions. Mais c’est pas là où tu doit chercher. Regarde d’abord à
l’intérieur. Re-découvre qui tu est et qu’est-ce que c’est important pour toi.
A partir de là tu peux commencer à construire, pas à pas, le parcours que tu
souhaite. Fais attention d’utiliser des matériaux durables, de valeur, qui ne
se dégradent pas dans le temps. Ça peut être difficile à les obtenir, mais il
n’y a rien qui peut être accompli sans sueur. L’honnêteté, la sobriété,
l’amour, l’amitié, la générosité et d’autres comme elles peuvent pas être
trouvées partout. L’humanité c’est très rare, difficilement à trouver parmi les
humains. Quand même, ne te laisse pas impressioné. Courage ! Tu peux être
l’étincelle dont nous tous on a besoin !M.P. Sau
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