06/01/2014

11.14. Criser, crise – bref cours de grammaire.

Regarde autour de toi ! N’importe où tes yeux tombent, tu ne voit que la crise. Si tu t’arrête pour écouter les bruits qui t’entourent, tu va facilement remarquer qu’il y a un qui sort en évidence dû à la performance et la qualité du son. C’est le son de la crise qui marche en fanfare sur les grandes rues de la ville. Tu sens quelque chose qui  te presse de plus en plus fort et que, malgré tes efforts de te redresser, ton dos continue à se courber ? T’en fais pas de soucis ! La crise est en train d’essayer la réalisation d’une soudure efficace sur ta carcasse.
Est-ce que t’as vu les dernières présentations de haute couture ? Sûrement t’as observé un détail qui a retenu ton attention. Les pantalons, les jupes, les chemises, les vestes, les t-shirts ont les poches cousus, ou, juste dessinés. Ça pour que tu sois protégé contre la crise qui peut te surprendre et t’enlever dans une minute tous ce que tu as réussi à cacher dans un ou plusieurs accessoires de ce type de tes vêtements. Dû à sa façon d’opérer, elle est connue sous le nom de « crise de poche ».
Evidement, il y a beaucoup d’epèces et sous-espèces de la crise. Quelques-unes sont déjà très populaires, respectivement popularisées. Elles travaillent pendant que tu dors tranquillement en espérant un meilleur ledemain.
La crise qui prouve d’être un candidat sérieux au titre suprême est, sans aucune trace de doute, celle économique. Quand on parle d’elle, toutes les compagnies se retirent, se font petites, même très petites et aillent se cacher où elles voient un coin libre. Vraiment toutes ? Ben, pas toutes. Il y a des compagnies qui ont des meilleurs résultats qu’avant la crise, qui s’étendent et qui font des plans à long terme. Il y a des compagnies qui investissent dans le développement de nouveau produits, emplacements et image de marque. Effrayée par ces apparitions, la crise les contourne, elle n’as pas le courage de les attaquer. Elle se concentre sur celles qui sont terrifiées, ayant leurs têtes couvertes d’une très fine couche de sable.
Il y a encore une, au moins aussi intéressante que les autres. Comme un caméléon, elle peut se camoufler parfaitement pour après attaquer quand tu ne t’attends pas. Les effets, par contre, sont dévastateurs, la proie est complètement perdue. Elle n’as aucune possibilité de retrouver sa route, elle bouge lentement, au hasard. Son regard est vide, fixé sur un seul point, son langage est maintenant extrêmement rapide, inondé par des mots qui se suivent négligents, sans avoir un sense précis, après, extrêmement lent, qui contient des pauses très longues, interrompues ci et là par quelques interjections difficilement à comprendre. C’est elle, la crise d’identité. Et elle est vraiment dangereuse.
Imagine que tu peux voir la Terre de très, très loin. Tu va être surpris par les perceptions offertes par cette image. Et la première chose qui sautte à tes yeux ne sont pas les couleurs, les formes ou ses mouvements. Ce qui te frappe c’est la sensation de crise générale qui semble avoir saisit toute la planète. On dirait qu’elle tourne de plus en plus vite, dans un essay titanique de se rompre de son maître absolu, le Soleil. Soit pas surpris par le vertige qui viens t’accabler. A un certain moment tu va découvrir que tu es alongé sur la terre !
Même si fantômatiques que ces déscriptions-là peuvent apparaître, elles ont quelque chose en commun. Les gens. Des êtres contrôlés par émotions, sentiments et sensations, parfois par la logique, ils induissent à leurs compagnons des divers états, conditions. Dont, avec l’aide de la téchnologie (internet, télévision, etc) ils les intensifient, les modifient, les dirigent. Les pauvres gens n’ont pas le choix. Ils réagissent à tous ces stimuli en essayant de reprendre le contrôle. Mais, l’effet est contraire à celui attendu. Ils sont piégés dans cette spirale que les lâche plus. Elle les tire de plus en plus dedans, les fait oublier que c’est dans leur pouvoir de revenir à la vie.
Comment est-ce que les gens peuvent s’arracher à ce tourbillon ?
Comment ferais-tu ?
            Probablement que la première impulsion serais de regarder autour de toi pour trouver les meilleures solutions. Mais c’est pas là où tu doit chercher. Regarde d’abord à l’intérieur. Re-découvre qui tu est et qu’est-ce que c’est important pour toi. A partir de là tu peux commencer à construire, pas à pas, le parcours que tu souhaite. Fais attention d’utiliser des matériaux durables, de valeur, qui ne se dégradent pas dans le temps. Ça peut être difficile à les obtenir, mais il n’y a rien qui peut être accompli sans sueur. L’honnêteté, la sobriété, l’amour, l’amitié, la générosité et d’autres comme elles peuvent pas être trouvées partout. L’humanité c’est très rare, difficilement à trouver parmi les humains. Quand même, ne te laisse pas impressioné. Courage ! Tu peux être l’étincelle dont nous tous on a besoin !

M.P. Sau

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire